Un an de tricot : retour sur mes projets

L’été dernier, je me remettais au tricot – que j’avais appris toute jeune avec ma maman – mais, surtout, je me lançais dans le tricot circulaire et découvrais un bel univers de créateurs indépendants de modèles et de laines teintes à la main. J’ai donc plongé dans cette nouvelle activité comme dans la couture, en apprenant de nombreuses techniques, en travaillant de belles matières et en prenant plaisir chaque jour à faire naître ma garde-robe tricotée main.

Un an plus tard, et après une petite pause estivale, je poursuis toujours le tricot avec goût, allongeant la liste des modèles que j’aimerais réaliser et les laines que je voudrais travailler. Je tenais donc à faire un retour sur cette première année de tricot, du matériel que j’ai acquis au fil du temps, des laines que j’ai tricotées et des modèles qui composent mon étagère de lainages…

Le matériel

Côté matériel, je ne souhaitais pas m’équiper trop dès le départ, je préférais attendre de voir si le tricot allait vraiment me plaire sur le long terme et me concentrer sur le gros poste de dépense qu’allait représenter la laine. Pour mon premier projet, j’ai donc acheté le livre de Lise Tailor pour m’accompagner au mieux dans les points techniques, une aiguille circulaire du numéro dont j’avais besoin pour le modèle et quelques marqueurs en plastique. Au fil des mois, je me suis ensuite équipée en petit matériel, en essayant de choisir avec soin l’essentiel et en favorisant toujours mes dépenses en belles laines projet après projet. Voici donc mes essentiels en tricot.

Les livres de Lise Tailor

Comme je l’avais écrit dans l’article sur mes débuts au tricot, le livre de Lise Tailor, Je me mets au tricot, m’a été d’une grande aide lorsque j’ai voulu me lancer dans le tricot circulaire. Il m’a vraiment permis d’y voir plus clair dans tout le vocabulaire lié au tricot circulaire et m’a accompagnée dans toutes les techniques de montage, augmentations/diminutions, rabattage et compagnie. Aujourd’hui encore, ce livre n’est jamais très loin de moi lors de mes séances tricot et je m’y réfère régulièrement pour bien visualiser une technique.

Je n’ai donc pas hésité à acheter le second volume, Je deviens expert tricot, lorsque j’ai réalisé mon premier châle en point brioche, le Plumpy shawl d’Andrea Mowry. Ce deuxième tome aborde certains types de projets plus en détails – le tricot des chaussettes, des châles, le jacquard ou les torsades – et permet donc de se diriger vers des modèles plus complexes. Il reprend également certains points techniques en les enrichissant de nouvelles variantes. Je le consulte moins souvent que le premier tome car il est peut-être plus pointu mais il me donne envie de me lancer dans quelques nouveaux challenges comme la réalisation d’un tricot en jacquard ou un gros projet en torsades. Ce sont donc deux livres que je considère comme des indispensables du tricot, de véritables boîtes à outils que j’utilise très régulièrement.

Les aiguilles, marqueurs et autres petits accessoires

J’ai commencé par acheter mes aiguilles au fur et à mesure des besoins que j’avais pour chaque projet. Toutes mes aiguilles sont donc des aiguilles circulaires fixes (non interchangeables) en métal de la marque Lang yarns, d’une longueur de 80 cm qui convient pour tous les pulls et gilets tricotés jusqu’à présent, et provenant de la mercerie de ma ville. Elles me conviennent assez bien et n’accrochent pas la laine au niveau de la jonction entre les aiguilles et le câble, j’en suis donc plutôt satisfaite. Au fur et à mesure, j’ai acheté tous les numéros compris entre 2,5 et 4 car j’ai eu besoin de ces différentes tailles pour mes projets. Ça n’est peut-être pas le plus pratique si on compare cela aux aiguilles dont les câbles sont interchangeables mais, économiquement, je pense que cela se vaut largement et je n’ai pas eu de gros investissement à faire dès le départ.

À force d’accumuler les aiguilles aux numéros tous assez proches, j’ai commencé à avoir quelques difficultés à retrouver le bon numéro d’aiguilles : inscrit sur le câble, celui-ci a eu tendance à s’effacer… J’ai donc profité de mon passage dans la jolie boutique de laines Stephen & Penelope à Amsterdam pour craquer pour une jauge à aiguilles amusante en forme de licorne qui m’aidera à m’y retrouver plus facilement. J’ai également remplacé mes anciens marqueurs en plastique par un joli lot de marqueurs métal en forme de goutte. Ces quelques petits accessoires viennent donc joliment compléter mon nécessaire à tricot.

Le dévidoir et le bobinoir

Sous ces deux termes, se cachent les outils qui permettent de passer la laine de la forme d’un écheveau à celle d’une pelote pour la rendre tricotable. Ces deux outils représentent un certain coût (dépendant des différents sites et marques sur lesquels on les trouve) et, lorsque j’ai débuté le tricot, ils ne faisaient clairement pas partie de mes priorités. En effet, il est possible de passer ses écheveaux en pelotes directement à la main et c’est ce que j’ai fait pendant plus de six mois. Je plaçais l’écheveau autour de mes genoux, assise sur mon canapé, et je profitais d’un film ou d’une série pour faire mes pelotes à la main. Ce processus était certes un peu long mais faisait partie de la préparation du projet, au même titre que la réalisation d’un échantillon. De plus, il faut savoir que certaines marques proposent de mettre directement vos écheveaux en pelotes au moment de la commande, c’est pas exemple le cas de Heidi Idea chez qui j’ai acheté plusieurs fois de la laine.

J’ai finalement reçu ces deux outils lors de mon dernier anniversaire et j’ai été ravie de pouvoir optimiser l’étape de préparation de la laine avant le tricot, sans compter que le dévidoir en bois est un bel objet que j’aime beaucoup. En bref, le dévidoir et le bobinoir ne sont absolument pas indispensables quand on débute mais permettront tout de même de gagner pas mal de temps quand on tricote régulièrement des écheveaux.

La laine

Quand je me suis remise au tricot, j’ai tout de suite eu envie d’essayer les belles laines teintes à la main par différents créateurs que j’avais découverts à travers certains patrons. Ces écheveaux et leurs nuances tout en subtilité m’attiraient énormément car ils déployaient une palette de couleurs d’une richesse incroyable qui m’apparaissait bien plus moderne que ce que je connaissais jusqu’à présent.

Les écheveaux teints à la main représentent forcément un coût important et je sais qu’il existe de nombreuses marques de laines à des tarifs plus bas mais, pour moi, ils participent au plaisir que j’ai à tricoter. Je prends en effet toujours le temps de choisir précisément une qualité de laine et un coloris chez un teinturier et, une fois reçu à la maison, j’aime découvrir toute la richesse des nuances d’un écheveau. J’aime également essayer différentes qualités de laines et découvrir le travail de teinture de différents créateurs et je varie donc, d’un projet à l’autre, mes choix de laines au maximum car de nombreuses me font rêver. Voici donc les laines tricotées durant l’année écoulée.

Merino superwash (fingering) « Gris perle » Heidi Idea : première laine que j’ai tricotée pour mon gilet Margot, j’ai beaucoup aimé la finesse et la douceur du Merino. Son rendu une fois tricoté est assez mou et souple, il me semble même que mon tricot s’était un peu allongé après blocage mais cette laine est vraiment agréable à porter. Avec le temps, elle a très légèrement bouloché sur le côté de mon gilet, là où j’ai l’habitude de porter mon sac à main mais c’est vraiment minime et j’enlève ces mini bouloches très facilement. Quant à sa couleur et son rendu, ils n’ont pas bougé.

Aphrodite DK (baby Alpaga, soie, cachemire) « Un diner à la maison Serpentard » de Lain’amourée : utilisée pour mon gilet Blossom, cette laine est définitivement la plus douce et la plus merveilleuse que j’ai tricotée. C’est certes l’une des plus coûteuses que j’ai achetée mais elle en valait vraiment la peine, j’ai adoré la tricoter et j’aime tout autant porter mon gilet. Cependant, c’est celle qui a bouloché le plus dans le temps, sur les manches et les côtés du gilet et, au niveau de l’aisselle, là où les frottements sont les plus intenses, elle semble même avoir un peu feutré sur une toute petite zone. Malgré ces quelques petits désagréments j’aime toujours autant mon gilet et je rêve de tricoter à nouveau cette belle laine.

Yack DK (Merino, yack et soie) « Nocturne » Heidi Idea : tricotée pour mon pull Erell, j’avoue que le toucher de cette laine m’a au départ un peu déstabilisée car elle avait un aspect sec sous les doigts qui contrastait clairement avec l’alpaga-soie-cachemire utilisée pour mon projet précédent. J’ai donc mis quelques jours à m’habituer à son rendu. La douceur de la laine s’est en fait complètement révélée au blocage et c’est un bonheur à porter. La présence de la soie confère au tricot un très joli drapé, ce qui donne un peu de tenue et une belle ondulation au pull une fois porté. Enfin, la laine de yack donne un aspect un peu grisé à la couleur, presque brut, que j’aime beaucoup.

Merino sport « Caramel », « Clay », « La belle époque » de La Bien Aimée : cette qualité de laine m’a semblé assez similaire à la fingering utilisée pour mon premier projet, si ce n’est son épaisseur qui est un peu plus importante. Commandée dans un kit pour tricoter le châle Plumpy d’Andréa Mowry, j’ai particulièrement aimé l’association des teintes proposées ici. Il y avait deux écheveaux d’unis – un caramel et un rose argile – et un écheveau à speckles – mélanges de beige-rose-gris avec des éclats de couleurs. C’était la première fois que je tricotais une laine à speckles et j’ai adoré observer l’arrivée de chaque petit éclat coloré au fil des mailles. Les laines de La Bien Aimée restent assez onéreuses mais elle propose des gammes de couleurs et certaines qualités particulières qu’on ne trouve pas forcément ailleurs.

Merino superwash fingering « Only black » de Yarn by Simone et Mohair-soie « Licorice » de Knitting for Olive : tricotées l’une avec l’autre, ces deux laines ont composé mon premier projet tricoté à deux brins. Le Merino de Yarn by Simone est un beau noir profond et uniforme et s’est associé parfaitement avec le mohair et soie de Knitting for Olive pour le joli pull Matrioschka. La qualité de ces deux laines était vraiment top et je pense que je recommanderai autant chez l’une que chez l’autre pour un futur projet.

Merino-mohair fingering « Terracotta » de Heidi Idea : laine single (à un seul brin) faite d’un mélange de Merino et de mohair, cette qualité est très légèrement duveteuse et assez douce. J’ai aussi beaucoup aimé sa couleur, un rose terracotta assez soutenu, que j’avais peu l’habitude de porter mais qui, sous la forme d’un châle, apporte une petite touche colorée à mes tenues basiques. Cependant, la présence de mohair me pique très légèrement si je porte mon châle bien enroulé autour du cou, je le porte donc de façon plus relâchée en mi-saison.

Athéna (Merino superwash fingering) et Orphée (mohair-soie) « Les pieds dans le sable » de Lain’amourée : le coloris « les pieds dans le sable » de Lain’amourée me plaisait depuis longtemps et c’est tout naturellement que j’ai opté pour l’association d’un fil Merino et d’un fil mohair dans cette couleur pour me tricoter un gilet Rêverie basique et lumineux. Le Merino est d’une joli finesse et le mohair est vraiment tout doux, ces deux brins ont donc été un bonheur à tricoter.

Cocoon (Merino soie) « Cappuccino » The Woolly skein : tricotée dans mon projet en cours, cette laine m’a plu dès les premières images partagées sur Instagram par cette jolie marque de laines teintes à la main. Elle est constituée d’un mélange de Merino et de soie, ce qui la rend particulièrement douce tout en lui apportant une légère brillance que j’aime beaucoup. Enfin, la teinte joliment nuancée de ce crème rosé est superbe.

Les projets

Trois gilets, deux pulls, deux châles et un encours… mon étagère s’est remplie au fil du temps de divers modèles que j’ai pris plaisir à tricoter durant cette première année. Pour chaque modèle tricoté, vous trouverez un lien vers l’article correspondant sur mon blog, soit un article détaillé sur le modèle soit un paragraphe dans un article « Journal de bord ». Il n’y a que pour le Pull Erell que je n’ai rien écrit par manque de temps, ce qui ne m’empêche pas de l’aimer et de beaucoup le porter.

Le gilet Margot (Along avec Anna)

Premier modèle que j’ai tricoté l’été dernier, le gilet Margot était le joli basique féminin dont j’avais envie pour débuter le tricot. Les petits motifs de dentelle ne m’ont pas effrayée car j’avais envie d’un projet vraiment motivant pour commencer. J’ai trouvé ce modèle plutôt accessible pour les débutantes, la seule complexité avait été le relevage des mailles pour les pattes de boutonnage ainsi que pour l’encolure, pour lesquels j’avais dû m’y reprendre à plusieurs fois pour avoir un rendu uniforme. J’aime beaucoup ce gilet et c’est clairement le modèle que je porte le plus, en toutes occasions et avec toutes mes tenues. J’aime sa forme assez basique – ses manches raglans, son encolure ronde et dégagée et sa coupe plutôt près du corps – et ses petits détails féminins de dentelle qui font tout son charme.

Le gilet Blossom (Along avec Anna)

Le gilet Blossom était un modèle que j’avais repéré bien avant de me lancer dans le tricot circulaire avec sa magnifique dentelle habillant tout le dos. Il représentait donc un challenge pour mon deuxième projet du fait de l’ampleur de la dentelle. Finalement, elle n’a pas été si compliquée à réaliser et m’a même motivée à avancer rapidement ce projet. J’ai vraiment adoré tricoter ce gilet dans la laine sublime de Lain’amourée (en baby alpaga-soie-cachemire) et j’ai tout autant aimé le porter tout l’hiver.

Le pull Erell (Along avec Anna)

Troisième projet de la créatrice Along avec Anna réalisé dans la foulée, le pull Erell était un modèle qui me faisait très envie aussi. Sa coupe boxy, son beau drapé et son point décoratif sur le bas du corps en font un joli basique réconfortant à enfiler tout simplement avec un jean. Il a été très facile à tricoter, d’autant qu’avec un pull, il s’agissait de tricoter en rond tout à l’endroit sans réfléchir, contrairement à mes gilets précédents tricotés en aller-retour. Peut-être un peu moins habillé que mes deux gilets, je porte plutôt Erell les week-ends pour une tenue confortable ou pour les balades et randos d’hiver puisqu’il tient bien chaud.

Le châle Plumpy (Andrea Mowry)

J’ai découvert les modèles de la créatrice américaine Andrea Mowry à la fin de l’automne dernier, en tombant sur un patron de châle que j’ai tout de suite aimé. Ses designs de tricot étaient vraiment différents de ce que je connaissais jusqu’à présent et ses associations de couleurs étaient vraiment originales et m’ont beaucoup plu. Parmi les nombreux modèles qu’elle propose, j’ai voulu essayer un châle et j’ai opté pour Plumpy pour lequel j’avais trouvé un kit de laines chez La Bien Aimée. Le tricot de ce châle a été un challenge à différents niveaux : avec ce projet, non seulement je me suis lancée dans mon premier châle mais j’ai suivi un patron rédigé en anglais et réalisé le point brioche pour la première fois. Et tout s’est déroulé à merveille, j’ai même trouvé ce projet addictif avec ses alternances de couleurs et son point brioche bicolore. Une fois tricoté, je l’ai vite adopté dans ma garde-robe et je le porte énormément puisqu’il s’associe avec beaucoup de mes tenues.

Le pull Matrioschka (Atelier Emilie)

Le pull Matrioschka est un pull court, relativement ajusté, à l’encolure près du cou et aux dessus de manches habillées d’une jolie dentelle. Pour en faire un petit pull chic et basique à la fois, j’ai décidé de le tricoter en noir car c’est une couleur que je porte beaucoup l’hiver et qui s’associe facilement avec tout mon dressing. Il a été vraiment facile et rapide à tricoter, les explications de la créatrices étant très claires. Mon seul petit regret est peut-être mon choix de laine qui ne met pas pleinement en valeur la dentelle des manches, du fait du côté duveteux du mohair et de la couleur noire. Il reste cependant un très joli basique à porter facilement au quotidien.

Le châle Boho Blush (Andrea Mowry)

Second châle réalisé à partir d’un modèle d’Andrea Mowry, le châle Boho Blush ne représentait pas particulièrement de nouveau challenge mais plutôt un projet court qui s’intercalait parfaitement entre un pull et un gilet. Il a été agréable à tricoter, alternant les parties faciles au point mousse et des zones de dentelle et de point brioche venant rythmer le tricot. Je n’ai en revanche pas réalisé les longues franges qui bordent normalement le châle car je le préférai ainsi. C’est un châle plus léger que mon premier, qui fonctionne donc assez bien pour la mi-saison.

Le gilet Rêverie (Atelier Emilie)

Le gilet Rêverie d’Atelier Emilie faisait partie de mes envies depuis longtemps, il représentait pour moi le basique idéal, le gilet que j’enfile telle une veste, associée aussi bien avec un pantalon qu’une robe. Je redoutais que ce soit un projet long à réaliser mais il est finalement très bien monté dans cet assemblage tout doux de Merino et de mohair Lain’amourée. Comme je m’y attendais, je l’ai tout de suite adopté : avec sa couleur neutre et lumineuse, il s’associe facilement avec toute ma garde-robe. Pour l’instant je l’ai principalement porté ouvert, sans ceinture, comme une veste lors des matins frais et je verrais si cet hiver je le porte en version ceinturée pour m’envelopper plus chaudement dedans.

Le cardigan Plume (Mauricette C.)

Après une pause sans tricot qui a duré de mai à juillet, ce gilet est le modèle coup de coeur qui m’a motivé à me remettre à mes aiguilles. J’avais aussi envie d’un autre tricot en épaisseur fingering car je n’ai que mon gilet Margot et je me suis rendue compte que je le portais tout le temps aux beaux jours, comme une petite veste que l’on emporte partout quand les températures se rafraîchissent après une journée au soleil. Le modèle est vraiment bien expliqué et toutes les étapes sont particulièrement détaillées par la créatrice, on est donc bien accompagné dans sa réalisation. Dernier projet en date, le gilet Plume est toujours sur mes aiguilles mais j’espère le terminer d’ici une dizaine de jours.

Après cette première année de tricot remplie de jolis modèles que je porte au quotidien, je compte bien poursuivre cette activité qui est devenue ma routine lors des soirées télé ou des week-ends cocooning. Comme pour la couture, ma liste d’envies ne cesse de s’allonger et j’ai déjà de nombreux modèles en tête et quelques challenges que j’aimerais relever cet hiver, comme la réalisation de mon premier jacquard – le modèle Marieke d’Along avec Anna me plaît beaucoup – ou un gros projet tout en torsades, comme le Winters Beach Cardi d’Andrea Mowry. Je rêve aussi de tricoter les belles laines de créateurs que je n’ai pas encore eu l’occasion d’essayer, comme les laines non traitées de Maison Corlène ou les beaux écheveaux à speckles de Tôt le matin Yarns… Il me reste donc encore tout un champ de possibles à explorer et je ne suis pas prête de ma lasser de ce joli monde du tricot !

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6 commentaires pour “Un an de tricot : retour sur mes projets

    1. Merci beaucoup, j’adore voir mon étagère tricot s’étoffer au fil des mois et je porte la plupart de mes tricots vraiment régulièrement.

  1. Wahoo je suis admirative ! ça fait depuis le mois de Février que je suis sur une paire de chaussettes (…et je ne suis qu’au premier pied 😀 j’ai honte !)
    Il y a beaucoup de projets qui me font envie aussi (le chale de Alice Hammer  »Habillez-moi » en kit avec une laine française……..il faut vraiment que je finisse ces chaussettes !) mais que ce soit en couture ou en tricot, je suis bien plus lente que ce que je voudrais :-/
    En tout cas c’est chouette de voir qu’il y a autant de beaux projets et de belles laines à portées de nos aiguilles 🙂

    1. Merci pour ton retour. Je crois qu’on déborde toutes d’idées et qu’on manque de temps pour tout ce qu’on voudrait faire. L’avantage de la lenteur du tricot c’est aussi de mieux choisir ses projets pour être sûre qu’on les portera après avoir passé plusieurs semaines ou plusieurs mois dessus donc j’avoue que je prends toujours le temps de bien choisir chaque projet 🙂
      Je n’ai jamais tenté les chaussettes mais je me dis que ce doit être un chouette projet pour les dimanches d’hiver ! Bon courage pour ton deuxième pied en tout cas 🙂

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